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Expositions Spéciales

Salisbury

Un observateur observé: Travail de terrain en Papouasie Nouvelle Guinée

Cette exposition, récemment complétée par un don, présente des objets et des photographies relatives au travail de terrain de Richard Salisbury parmi les Siane des Hautes Terres de l'Est de la Nouvelle-Guinée et les Tolai de la péninsule de Gazelle de Nouvelle-Bretagne.

Richard Salisbury a été un pionnier de l'anthropologie du développement et l'un des fondateurs du Département d'anthropologie de l'Université McGill.

Dans cette exposition, nous tournons notre regard vers le travail de l'anthropologue. À quoi ressemblait un travail de terrain dans les années 50? Quelle était la relation de l'anthropologue avec les communautés? Des notes de terrain, des photographies et des objets nous donnent des indices pour répondre à ces questions.

Nouvelle exposition: Gloria algae. Les algues marines du Québec de Marcelle Gauvreau

Peu (re)connue, la naturaliste et botaniste Marcelle Gauvreau a œuvré à l’avancement des sciences, notamment par ses recherches sur les algues marines d’ici, et à leur vulgarisation auprès de la jeunesse. Inspiré par les rares alguiers existants à travers le monde, ce projet artistique et scientifique issu d’une collaboration entre le photographe Yves Lavoie et le muséologue et chercheur Philippe Denis lui rend hommage.

Présentée conjointement au Musée Redpath (Montréal) et aux (Grand-Métis), l’exposition vise à mettre en lumière l’importance de cette figure scientifique, tout en présentant quelques spécimens — une alternative à l’observation directe sur la plage — pour initier à la cueillette des algues marines et à la fabrication d’un alguier, des sources d’enthousiasme et de connaissance.

Du 2 septembre au 18 octobre 2025.

Salle d’exposition temporaire, 2e Ă©łŮ˛ą˛µ±đ.

Imprimés / Empreintes

Ă€ partir du 21 nobembre 2023

Depuis le début des temps, les humains aiment laisser des traces de leur passage sur Terre. Que l’on pense à l’art rupestre, aux monuments des civilisations disparues, ou même aux graffitis qui ornent nos villes modernes, les gens laissent des empreintes derrière eux.

Une nouvelle vitrine de la galerie des Cultures du monde présentera, à partir du 21 novembre, une sélection d’imprimées qui font vraisemblablement partie d’une série d’œuvres qui ont été cachées ici et là dans le Musée par un.e artiste mystère probablement vers le début des années 2010. Le personnel, qui trouve ces œuvres occasionnellement sous des vitrines, derrière des meubles ou dans des tiroirs dans les galeries du musée, a conservé les 25 œuvres trouvées jusqu’à maintenant.

Quel était le but de l’artiste derrière cette démarche? Nous ne le saurons peut-être jamais. Mais une chose est sûre : l’artiste a bien laissé sa trace au Musée, et notre curiosité est bel et bien piquée!

Ĺ’uvre #5332

Datée 04/05/09

Artiste : Inconnu

Trouvée: 29 avril, 2016.Sous le boitier minéral 10.

« De l’ombre à la lumière : le Soleil dans la culture matérielle » et « Jour et nuit : L'instinct animal lors d'une éclipse »

Ă€ partir d'avril 2024

Bouteille à anse en étrier, Chimú*, Pérou, RM1344, Don de : T. B. Macauley, 1927.

Avez-vous, comme nous, été impressionnés par la beauté de l’éclipse solaire totale du 8 avril? Prolongez l’émerveillement en venant découvrir nos deux nouvelles vitrines consacrées à ce phénomène. Pour l’occasion, nous avons sorti de l’ombre plusieurs objets jamais ou rarement exposés. La sélection d’objets et de spécimens des vitrines vise à souligner l’importance du Soleil pour les humains et les animaux. Apprenant en plus sur l’impact des éclipses sur le comportement des animaux et l’importance symbolique du soleil à travers l’histoire et les cultures.

Reconnaissance des Terres

L’Université McGill est située sur un territoire qui a longtemps servi de lieu de rencontre et d’échange autochtone, notamment pour les Haudenosaunee et les Anishinaabeg. Nous saluons et remercions les divers peuples autochtones qui ont enrichi de leur présence ce territoire qui accueille aujourd’hui des gens de partout dans le monde.

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Énoncé sur le ramatriement, rapatriement et restitution

Nous reconnaissons que le retour et la restitution du patrimoine culturel et naturel aux communautés d'origine est un élément essentiel de la réconciliation et de la reconnaissance des droits fondamentaux des peuples autochtones. Dans le cadre d'efforts plus larges visant à activer les normes présentées dans le rapport de l'Association des musées canadiens intitulé Portés à l'action: Appliquer la DNUDPA dans les musées canadiens (2022), le Redpath travaille à la mise en place de pratiques de restitution proactives. Conformément à notre Politique de gestion des collections (2024), les demandes de restitution seront reçues par la directrice du Musée Redpath et seront traitées au cas par cas.

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Nous vous informons que le MusĂ©e Redpath n’est pas accessible aux personnes en fauteuil roulant. Il ne dispose d’aucune rampe d’accès ni d’ascenseur, et l’accès aux Ă©tages se fait uniquement par un escalier central. L’entrĂ©e extĂ©rieure, les espaces intĂ©rieurs, les salles d’exposition ainsi que les toilettes ne sont pas amĂ©nagĂ©s selon les normes d’accessibilitĂ© universelle. De plus, le bâtiment n’est pas climatisĂ©. Pour plus de dĂ©tails, veuillez consulter la .Ěý

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